Après 10 ans de fonctionnement, l’Agglo a souhaité engager une réflexion sur l’organisation du réseau de transport agglo’Bus.
Les objectifs sont les suivants :
Mieux répondre aux attentes des usagers ;
Maitriser les dépenses et optimiser le service ;
Simplifier et rendre plus lisible le réseau.
Une étude a été menée par le bureau d’études Inddigo qui a analysé l’ensemble des statistiques et usages ainsi que les actions en cours ou à venir sur les stratégies mobilité de l’ensemble des acteurs locaux.
Trois niveaux de service sont actuellement proposés par l’Agglo :
Le réseau urbain : 91 000 voyages et 155 000 km / an ;
Le transport à la demande et pour Personnes à Mobilité Réduite 14 500 voyages et 95 000 km / an ;
Le transport scolaire : 520 élèves l’utilisent.
Cette étude a permis de définir un nouveau schéma voté au conseil communautaire du 11 avril dernier, celui-ci vise à maintenir l’offre de transport à la demande en milieu rural et à optimiser l’offre sur Guéret avec notamment :
La suppression des arrêts les moins utilisés (parfois seulement 6 montées/mois) ;
Des temps de parcours plus rapides grâce à la suppression de ces arrêts (à – de 300 m du suivant) ;
L’ajout d’un service à la demande qui permettra de desservir les arrêts de Guéret les moins fréquentés et de créer de nouveaux arrêts (Tremplin Nature et Ecole d’infirmières par exemple) ;
Un renforcement des fréquences sur les axes Nord-Sud et Est-Ouest ;
Améliorer la desserte du centre-ville de Guéret.
Il sera mis en œuvre à compter de la rentrée scolaire 2024.
Les économies réalisées permettront notamment de renouveler et de « verdir » la flotte.
Le service de transport public est financé par le versement mobilité dû par l’ensemble des entreprises et collectivités de plus de 11 salariés du territoire. La vente des billets ne représentant qu’une petite part du coût du service.
L’Agglo rappelle que la taille des bus, qui sont moins fréquentés en journée (comme dans toutes les villes en heures creuses), est indispensable pour assurer le transport scolaire et qu’il serait dispendieux d’acquérir et d’entretenir deux flottes et ce, quel que soit le mode de gestion choisi.
Les objectifs sont les suivants :
Mieux répondre aux attentes des usagers ;
Maitriser les dépenses et optimiser le service ;
Simplifier et rendre plus lisible le réseau.
Une étude a été menée par le bureau d’études Inddigo qui a analysé l’ensemble des statistiques et usages ainsi que les actions en cours ou à venir sur les stratégies mobilité de l’ensemble des acteurs locaux.
Trois niveaux de service sont actuellement proposés par l’Agglo :
Le réseau urbain : 91 000 voyages et 155 000 km / an ;
Le transport à la demande et pour Personnes à Mobilité Réduite 14 500 voyages et 95 000 km / an ;
Le transport scolaire : 520 élèves l’utilisent.
Cette étude a permis de définir un nouveau schéma voté au conseil communautaire du 11 avril dernier, celui-ci vise à maintenir l’offre de transport à la demande en milieu rural et à optimiser l’offre sur Guéret avec notamment :
La suppression des arrêts les moins utilisés (parfois seulement 6 montées/mois) ;
Des temps de parcours plus rapides grâce à la suppression de ces arrêts (à – de 300 m du suivant) ;
L’ajout d’un service à la demande qui permettra de desservir les arrêts de Guéret les moins fréquentés et de créer de nouveaux arrêts (Tremplin Nature et Ecole d’infirmières par exemple) ;
Un renforcement des fréquences sur les axes Nord-Sud et Est-Ouest ;
Améliorer la desserte du centre-ville de Guéret.
Il sera mis en œuvre à compter de la rentrée scolaire 2024.
Les économies réalisées permettront notamment de renouveler et de « verdir » la flotte.
Le service de transport public est financé par le versement mobilité dû par l’ensemble des entreprises et collectivités de plus de 11 salariés du territoire. La vente des billets ne représentant qu’une petite part du coût du service.
L’Agglo rappelle que la taille des bus, qui sont moins fréquentés en journée (comme dans toutes les villes en heures creuses), est indispensable pour assurer le transport scolaire et qu’il serait dispendieux d’acquérir et d’entretenir deux flottes et ce, quel que soit le mode de gestion choisi.
