Ces quelque 80 exilés vivent dans des tentes depuis trois mois et souffrent des épisodes pluvieux. Si leur minorité n'a pas été reconnue par la métropole, ils ont déposé un recours.
Ces quelque 80 exilés vivent dans des tentes depuis trois mois et souffrent des épisodes pluvieux. Si leur minorité n'a pas été reconnue par la métropole, ils ont déposé un recours.