Au troisième jour du procès des abus sur Gisèle Pélicot, orchestrés par son mari, les avocats de plusieurs des 51 accusés ont réfuté ce qualificatif de violeurs pour leurs clients, accusant les enquêteurs d'une généralisation trompeuse.
Au troisième jour du procès des abus sur Gisèle Pélicot, orchestrés par son mari, les avocats de plusieurs des 51 accusés ont réfuté ce qualificatif de violeurs pour leurs clients, accusant les enquêteurs d'une généralisation trompeuse.