[Commémoration : à la mémoire du génocide des Arméniens ]
Le 24 avril 1915 débutait un génocide commis par les autorités ottomanes, entraînant la mort de plus d’un million d’Arméniens. Pour poursuivre le travail de mémoire et ne pas oublier ce crime contre l’humanité, Villeurbanne organise chaque année une cérémonie d’hommage et de recueillement. Ce mardi 23 avril, après une cérémonie devant le mémorial, rue d’Arménie, les commémorations se sont poursuivies dans les salons de l’hôtel de ville, avec l’ensemble de danse Naïri, dirigé par Félix et Térésa Grigorian. Le maire, @CédricVanStyvendael, de retour d’un déplacement en Arménie dans la ville d’Abovyan, a rappelé que “plus de cent ans après, le génocide s’épanouit encore dans le silence et le déni de ceux qui refusent de voir et d’admettre. [...] Par cette cérémonie nous luttons contre l’oubli de manière solennelle, mais nous le faisons chaque jour à Villeurbanne, en permettant à la culture arménienne de s’épanouir et d’être partagée avec tous les habitants de cette ville.”
Le 24 avril 1915 débutait un génocide commis par les autorités ottomanes, entraînant la mort de plus d’un million d’Arméniens. Pour poursuivre le travail de mémoire et ne pas oublier ce crime contre l’humanité, Villeurbanne organise chaque année une cérémonie d’hommage et de recueillement. Ce mardi 23 avril, après une cérémonie devant le mémorial, rue d’Arménie, les commémorations se sont poursuivies dans les salons de l’hôtel de ville, avec l’ensemble de danse Naïri, dirigé par Félix et Térésa Grigorian. Le maire, @CédricVanStyvendael, de retour d’un déplacement en Arménie dans la ville d’Abovyan, a rappelé que “plus de cent ans après, le génocide s’épanouit encore dans le silence et le déni de ceux qui refusent de voir et d’admettre. [...] Par cette cérémonie nous luttons contre l’oubli de manière solennelle, mais nous le faisons chaque jour à Villeurbanne, en permettant à la culture arménienne de s’épanouir et d’être partagée avec tous les habitants de cette ville.”