L'ARS vous informe :
La saison estivale 2023 a été marquée par un nombre record de cas importés de dengue à l’échelle nationale mais également en région Centre-Val de Loire. Désormais, les régions du sud du pays sont confrontées à la gestion de foyers de cas autochtones.
Présent de manière pérenne dans tous les départements de notre région et notamment dans les grandes agglomérations (hormis en Eure-et-Loir où sa présence a été détectée de manière ponctuelle en 2022 et 2023), l’expansion territoriale du moustique tigre fait l’objet d’une surveillance par l’agence régionale de santé (ARS). Il peut, dans certaines conditions, être vecteur de ces virus.
Afin de prévenir et ralentir sa prolifération et le risque de survenue de foyers de cas humains, une surveillance épidémiologique est également réalisée grâce au concours d’acteurs institutionnels (Santé publique France, ARS) et des professionnels de santé.
La saison de surveillance renforcée a débuté le 1er mai 2024. Elle pourrait être à son tour marquée par un nombre important de cas importés du fait de l’épidémie actuelle dans le sud du continent américain.
Aussi, votre mobilisation est indispensable, à plusieurs titres, pour lutter contre ce risque et contre la nuisance du moustique tigre : elle l’est lors des opérations de prospections entomologiques ou de démoustication programmées par l’ARS, mais également par la diffusion à vos administrés des gestes à adopter pour limiter la prolifération du moustique et s’en protéger.
La saison estivale 2023 a été marquée par un nombre record de cas importés de dengue à l’échelle nationale mais également en région Centre-Val de Loire. Désormais, les régions du sud du pays sont confrontées à la gestion de foyers de cas autochtones.
Présent de manière pérenne dans tous les départements de notre région et notamment dans les grandes agglomérations (hormis en Eure-et-Loir où sa présence a été détectée de manière ponctuelle en 2022 et 2023), l’expansion territoriale du moustique tigre fait l’objet d’une surveillance par l’agence régionale de santé (ARS). Il peut, dans certaines conditions, être vecteur de ces virus.
Afin de prévenir et ralentir sa prolifération et le risque de survenue de foyers de cas humains, une surveillance épidémiologique est également réalisée grâce au concours d’acteurs institutionnels (Santé publique France, ARS) et des professionnels de santé.
La saison de surveillance renforcée a débuté le 1er mai 2024. Elle pourrait être à son tour marquée par un nombre important de cas importés du fait de l’épidémie actuelle dans le sud du continent américain.
Aussi, votre mobilisation est indispensable, à plusieurs titres, pour lutter contre ce risque et contre la nuisance du moustique tigre : elle l’est lors des opérations de prospections entomologiques ou de démoustication programmées par l’ARS, mais également par la diffusion à vos administrés des gestes à adopter pour limiter la prolifération du moustique et s’en protéger.
