LA FILLE DE COLETTE BESSON PORTE LA FLAMME OLYMPIQUE AUJOURD’HUI
Le 29 novembre 2014, la Ville inaugurait le gymnase Colette Besson, médaillée d’or à l’épreuve d’athlétisme du 400m des jeux olympiques de Mexico en 1968, en présence de son mari, Jean Noguès et de sa fille Stéphanie Noguès-Besson.
Aujourd’hui, dimanche 12 mai, Stéphanie porte la flamme olympique qui passe par Cassis, dans le sud de la France. Un très bel hommage à sa maman, Colette Besson, qu’elle a partagé récemment sur son compte Facebook : « Cette flamme, c'est elle qui aurait dû la porter, et je remercie le Cojo de l’associer, à travers ma sœur et moi, à ce moment hautement symbolique. L’histoire de ma mère est intimement liée au mouvement olympique, que ce soit à travers sa victoire aux JO de Mexico, mais surtout par rapport à l’idéal qu’il promeut. Ma mère était convaincue que le sport avait un rôle essentiel à jouer dans la société, en tant que vecteur d'émancipation, de cohésion et de bien-être. Son engagement a pris diverses formes, que ce soit en tant que professeur de sport, au sein des clubs d’athlétisme où elle officiait, en tant que présidente du laboratoire de lutte contre le dopage de Chatenay-Malabry, ou encore en soutenant activement les candidatures de Paris 2008 et Paris 2012, avec en fil conducteur la promotion de la pratique et la transmission des valeurs du sport auprès des plus jeunes et des femmes. Ces valeurs, elle les a incarnées toute sa vie, de manière désintéressée, avec simplicité, passion, intégrité. Elle aurait été heureuse de vivre ces Jeux dans son pays et de pouvoir à nouveau porter cette flamme comme en 2004, ce symbole si fort qui a illuminé sa vie et dans lequel elle vit pour l’éternité ».
Le 29 novembre 2014, la Ville inaugurait le gymnase Colette Besson, médaillée d’or à l’épreuve d’athlétisme du 400m des jeux olympiques de Mexico en 1968, en présence de son mari, Jean Noguès et de sa fille Stéphanie Noguès-Besson.
Aujourd’hui, dimanche 12 mai, Stéphanie porte la flamme olympique qui passe par Cassis, dans le sud de la France. Un très bel hommage à sa maman, Colette Besson, qu’elle a partagé récemment sur son compte Facebook : « Cette flamme, c'est elle qui aurait dû la porter, et je remercie le Cojo de l’associer, à travers ma sœur et moi, à ce moment hautement symbolique. L’histoire de ma mère est intimement liée au mouvement olympique, que ce soit à travers sa victoire aux JO de Mexico, mais surtout par rapport à l’idéal qu’il promeut. Ma mère était convaincue que le sport avait un rôle essentiel à jouer dans la société, en tant que vecteur d'émancipation, de cohésion et de bien-être. Son engagement a pris diverses formes, que ce soit en tant que professeur de sport, au sein des clubs d’athlétisme où elle officiait, en tant que présidente du laboratoire de lutte contre le dopage de Chatenay-Malabry, ou encore en soutenant activement les candidatures de Paris 2008 et Paris 2012, avec en fil conducteur la promotion de la pratique et la transmission des valeurs du sport auprès des plus jeunes et des femmes. Ces valeurs, elle les a incarnées toute sa vie, de manière désintéressée, avec simplicité, passion, intégrité. Elle aurait été heureuse de vivre ces Jeux dans son pays et de pouvoir à nouveau porter cette flamme comme en 2004, ce symbole si fort qui a illuminé sa vie et dans lequel elle vit pour l’éternité ».
