[Histoire]
Marie-Antoinette De Bouet Du Portal (1902-1945)
Honnorée le 08 Mars à l’occasion de la journée de la femme
Femme issue de la famille De Bouet du Portal qui a acquis le domaine de La Rigaudière sur la commune de Médis en 1807 dont deux de ses Aïeux : Joseph Bernard, Lieutenant d’artillerie sous Napoléon Bonaparte Maire de Médis (1810-1821) et Edouard Christophe (1867-1884). Marie-Antoinette y réside avec son père François pendant la seconde guerre mondiale.
Située entre les lignes allemandes et françaises, et pendant toute la durée de l’investissement de la Poche de Royan, elle facilite l’action des agents de liaison et de renseignements qui franchissent les lignes, elle-même fournit des renseignements précieux qui ont pu être exploités par le Commandement Français.
Au cours des combats livrés du 14 au 16 Avril 1945, principalement sur la commune de Médis et les villages voisins pour libérer Royan, elle a redoublé d’activité en servant d’agent de liaison entre le Commandant des troupes d’attaque et le service des guides. Installant chez elle au Château, un poste de secours, veillant et soignant les blessés avec beaucoup de dévouement ne tenant aucun compte de la violence des combats qui se livraient tout près de chez elle.
Le 15 Avril 1945, partant pour une mission de renseignement, elle est blessée mortellement en marchant sur une mine située dans le bois derrière sa demeure.
Citée à l’ordre du régiment (croix de guerre avec étoile de bronze) et du département, elle est la seule femme inscrite sur le monument aux morts de la commune de Médis.
Marie-Antoinette De Bouet Du Portal (1902-1945)
Honnorée le 08 Mars à l’occasion de la journée de la femme
Femme issue de la famille De Bouet du Portal qui a acquis le domaine de La Rigaudière sur la commune de Médis en 1807 dont deux de ses Aïeux : Joseph Bernard, Lieutenant d’artillerie sous Napoléon Bonaparte Maire de Médis (1810-1821) et Edouard Christophe (1867-1884). Marie-Antoinette y réside avec son père François pendant la seconde guerre mondiale.
Située entre les lignes allemandes et françaises, et pendant toute la durée de l’investissement de la Poche de Royan, elle facilite l’action des agents de liaison et de renseignements qui franchissent les lignes, elle-même fournit des renseignements précieux qui ont pu être exploités par le Commandement Français.
Au cours des combats livrés du 14 au 16 Avril 1945, principalement sur la commune de Médis et les villages voisins pour libérer Royan, elle a redoublé d’activité en servant d’agent de liaison entre le Commandant des troupes d’attaque et le service des guides. Installant chez elle au Château, un poste de secours, veillant et soignant les blessés avec beaucoup de dévouement ne tenant aucun compte de la violence des combats qui se livraient tout près de chez elle.
Le 15 Avril 1945, partant pour une mission de renseignement, elle est blessée mortellement en marchant sur une mine située dans le bois derrière sa demeure.
Citée à l’ordre du régiment (croix de guerre avec étoile de bronze) et du département, elle est la seule femme inscrite sur le monument aux morts de la commune de Médis.
