80ème anniversaire commémoration de la libération 1944 - Cérémonie 30 mars 2024 à Larche - Pose d’une plaque.
Rafle du 31 mars 1944, à Larche (19600)
Le 31 mars 1944, la commune de Larche est occupée par les troupes allemandes. La division BREHMER, chargée de réduire les forces du maquis du sud-ouest et de faire la chasse aux juifs, arrête un groupe de jeunes fuyant le Service du Travail Obligatoire ainsi que des familles juives. Ces derniers ont été rassemblés dans la cour de l’école de l’époque, au pied de la mairie.
3 d’entre-eux ont été fusillés le lendemain à Saint-Pantaléon-de-Larche, parce qu’ils étaient juifs (M. COHEN, M. SPINGARN, M. VITLING).
Les autres ont été déportés vers les camps d’AUSCHWITZ en Pologne, à GRAZ en Autriche ou à MARIBOR en Slovénie actuelle.
Mme COHEN et Mme SPINGARN mourront en déportation à AUSCHWITZ, Odette SPINGARN s’évadera et Stéphanie VITLING fera partie des rescapées.
Les jeunes réfractaires reviendront de leur déportation des camps et malgré les souffrances endurées, grâce à leur jeune âge peut-être, reprendront le cours de leur vie (dans l’assemblée présente, des descendants de ces jeunes).
Seul M. MARTIN sera libéré à Périgueux après la rafle du 31 mars 1944.
Rafle du 31 mars 1944, à Larche (19600)
Le 31 mars 1944, la commune de Larche est occupée par les troupes allemandes. La division BREHMER, chargée de réduire les forces du maquis du sud-ouest et de faire la chasse aux juifs, arrête un groupe de jeunes fuyant le Service du Travail Obligatoire ainsi que des familles juives. Ces derniers ont été rassemblés dans la cour de l’école de l’époque, au pied de la mairie.
3 d’entre-eux ont été fusillés le lendemain à Saint-Pantaléon-de-Larche, parce qu’ils étaient juifs (M. COHEN, M. SPINGARN, M. VITLING).
Les autres ont été déportés vers les camps d’AUSCHWITZ en Pologne, à GRAZ en Autriche ou à MARIBOR en Slovénie actuelle.
Mme COHEN et Mme SPINGARN mourront en déportation à AUSCHWITZ, Odette SPINGARN s’évadera et Stéphanie VITLING fera partie des rescapées.
Les jeunes réfractaires reviendront de leur déportation des camps et malgré les souffrances endurées, grâce à leur jeune âge peut-être, reprendront le cours de leur vie (dans l’assemblée présente, des descendants de ces jeunes).
Seul M. MARTIN sera libéré à Périgueux après la rafle du 31 mars 1944.