En réponse aux différents reportages et articles de presse concernant la vente de la mairie actuelle et aux commentaires sur les réseaux sociaux, la municipalité tient à apporter les précisions suivantes.
Ce bâtiment qui n’est pas « historique », tout comme le mur de la place des commerces, a vécu !
Le déplacement de la mairie, de la bibliothèque est devenu après une longue réflexion une évidence :
• Ces locaux sont mal agencés, mal chauffés, étroits, notamment en ce qui concerne les archives, la confidentialité pose problème,
• La bibliothèque qui occupe le rez-de-chaussée est sombre, trop petite et peu fonctionnelle,
• Il y a des problématiques de stationnement pour les administrés,
• Les salles exploitables ne pourraient se situer qu’en rez-de-chaussée,
Le bâtiment, pour être en conformité avec le code du travail et la règlementation concernant les établissements recevant du public, nécessiterait de lourds travaux.
Le transformer pour y créer des commerces ou un restaurant (ce qui soit dit en passant, ferait surement plaisir aux établissements existant) n’est pas du ressort de la Mairie. Nous n’avons pas vocation à faire de de la promotion immobilière et là pour le coup « ce n’est vraiment pas une dépense prioritaire ». Le coût de sa rénovation serait exorbitant.
Faut-il comme pour les commerces rester dans la situation actuelle, et attendre leur fermeture
Faut-il laisser des bâtiments communaux vides et à l’abandon ou occupés une ou deux fois/semaine par des associations
Ou bien faut-il par une politique volontariste permettre à des jeunes ou des personnes isolées de bénéficier de logements adaptés
En 2014, nous avons vendu le Presbytère car il nécessitait plus de 300 000 € de rénovation. En ce qui concerne la maison pour tous et le cabinet médical, l’enveloppe des travaux avoisineraient les 700 000 €, sans le bénéfice des ventes. Ces bâtiments demandent des travaux urgents en raison de leur état.
En ce qui concerne l’ancienne école, c’est à l’heure actuelle, un bâtiment qui se délabre et qui a fortement besoin de rénovation.
Le choix de ne pas la rénover pour y accueillir l’école a été un choix raisonnable et concerté. Ces bâtiments n’offraient plus le confort nécessaire : bungalows pour la maternelle qui avaient plus de 20 ans, cantine à l’étage mal adaptée à l’accueil des enfants, pas de possibilité d’y accueillir des enfants et du personnel à mobilité réduite, dortoir peu confortable, salles vétustes….
Les travaux de réhabilitation auraient conduit à d’autres difficultés, par exemple la scolarisation des enfants pendant la durée des travaux
Dans un 1èr temps, l’urgence était donc de déplacer l’école et d’offrir de bonnes conditions d’apprentissage aux enfants et des locaux mieux adaptés au personnel enseignant et communal.
Dans un 2ème temps et après réflexion, nous avons décidé de rénover cette « passoire thermique », de refaire la salle de classe qui vient de s’effondrer en partie et de réaménager l’intérieur. Les travaux n’impacteront pas les services communaux qui continueront de fonctionner puisque déjà logés.
Ce bâtiment emblématique du village, que de nombreux versois ont toujours connu va avoir une deuxième vie et offrir de l’espace pour recevoir :
• les services municipaux,
• la bibliothèque,
• les nombreuses associations,
• le bureau de poste qui offrira des horaires d’ouverture plus importants qu’actuellement et qui aurait disparu sans cette solution.
L’ancienne cour devrait devenir un lieu de rencontre où il fera bon se réunir.
Un parking bien aménagé et mutualisé avec la crèche, permettra de recevoir le public aisément.
Ces aménagements seront réalisés sans emprunt et avec les aides financières de l’état, de la région, du département, de la Communauté des Communes du Pont du Gard et de la poste.
Côté finances, rassurez-vous, elles sont bonnes ! Il n’est nullement question de brader notre patrimoine pour renflouer les caisses. Notre endettement n’est pas de 3 500 000 €, comme rapporté dans le reportage télé, mais seulement de 2 000 000 € à des taux d’emprunt raisonnables, en y incluant le prêt des commerces de plus de 400 000 € qui est lui remboursé par les loyers.
Le patrimoine communal ne s’est pas appauvri, mais s’est enrichi ! Il est de 20 000 000 € à ce jour, contre 8 000 000 € en 2008.
Les impôts communaux n’ont pas été augmentés depuis 2014 malgré les gros investissements réalisés.
En ces temps difficiles, croyez bien que nous faisons le maximum pour préparer l’avenir tout en tenant compte du passé de notre village.
La municipalité.
Ce bâtiment qui n’est pas « historique », tout comme le mur de la place des commerces, a vécu !
Le déplacement de la mairie, de la bibliothèque est devenu après une longue réflexion une évidence :
• Ces locaux sont mal agencés, mal chauffés, étroits, notamment en ce qui concerne les archives, la confidentialité pose problème,
• La bibliothèque qui occupe le rez-de-chaussée est sombre, trop petite et peu fonctionnelle,
• Il y a des problématiques de stationnement pour les administrés,
• Les salles exploitables ne pourraient se situer qu’en rez-de-chaussée,
Le bâtiment, pour être en conformité avec le code du travail et la règlementation concernant les établissements recevant du public, nécessiterait de lourds travaux.
Le transformer pour y créer des commerces ou un restaurant (ce qui soit dit en passant, ferait surement plaisir aux établissements existant) n’est pas du ressort de la Mairie. Nous n’avons pas vocation à faire de de la promotion immobilière et là pour le coup « ce n’est vraiment pas une dépense prioritaire ». Le coût de sa rénovation serait exorbitant.
Faut-il comme pour les commerces rester dans la situation actuelle, et attendre leur fermeture
Faut-il laisser des bâtiments communaux vides et à l’abandon ou occupés une ou deux fois/semaine par des associations
Ou bien faut-il par une politique volontariste permettre à des jeunes ou des personnes isolées de bénéficier de logements adaptés
En 2014, nous avons vendu le Presbytère car il nécessitait plus de 300 000 € de rénovation. En ce qui concerne la maison pour tous et le cabinet médical, l’enveloppe des travaux avoisineraient les 700 000 €, sans le bénéfice des ventes. Ces bâtiments demandent des travaux urgents en raison de leur état.
En ce qui concerne l’ancienne école, c’est à l’heure actuelle, un bâtiment qui se délabre et qui a fortement besoin de rénovation.
Le choix de ne pas la rénover pour y accueillir l’école a été un choix raisonnable et concerté. Ces bâtiments n’offraient plus le confort nécessaire : bungalows pour la maternelle qui avaient plus de 20 ans, cantine à l’étage mal adaptée à l’accueil des enfants, pas de possibilité d’y accueillir des enfants et du personnel à mobilité réduite, dortoir peu confortable, salles vétustes….
Les travaux de réhabilitation auraient conduit à d’autres difficultés, par exemple la scolarisation des enfants pendant la durée des travaux
Dans un 1èr temps, l’urgence était donc de déplacer l’école et d’offrir de bonnes conditions d’apprentissage aux enfants et des locaux mieux adaptés au personnel enseignant et communal.
Dans un 2ème temps et après réflexion, nous avons décidé de rénover cette « passoire thermique », de refaire la salle de classe qui vient de s’effondrer en partie et de réaménager l’intérieur. Les travaux n’impacteront pas les services communaux qui continueront de fonctionner puisque déjà logés.
Ce bâtiment emblématique du village, que de nombreux versois ont toujours connu va avoir une deuxième vie et offrir de l’espace pour recevoir :
• les services municipaux,
• la bibliothèque,
• les nombreuses associations,
• le bureau de poste qui offrira des horaires d’ouverture plus importants qu’actuellement et qui aurait disparu sans cette solution.
L’ancienne cour devrait devenir un lieu de rencontre où il fera bon se réunir.
Un parking bien aménagé et mutualisé avec la crèche, permettra de recevoir le public aisément.
Ces aménagements seront réalisés sans emprunt et avec les aides financières de l’état, de la région, du département, de la Communauté des Communes du Pont du Gard et de la poste.
Côté finances, rassurez-vous, elles sont bonnes ! Il n’est nullement question de brader notre patrimoine pour renflouer les caisses. Notre endettement n’est pas de 3 500 000 €, comme rapporté dans le reportage télé, mais seulement de 2 000 000 € à des taux d’emprunt raisonnables, en y incluant le prêt des commerces de plus de 400 000 € qui est lui remboursé par les loyers.
Le patrimoine communal ne s’est pas appauvri, mais s’est enrichi ! Il est de 20 000 000 € à ce jour, contre 8 000 000 € en 2008.
Les impôts communaux n’ont pas été augmentés depuis 2014 malgré les gros investissements réalisés.
En ces temps difficiles, croyez bien que nous faisons le maximum pour préparer l’avenir tout en tenant compte du passé de notre village.
La municipalité.
