LA MÉMOIRE DES ANCIENNES
Dans le Regards de mars/avril, la commune a voulu rendre hommage à nos anciennes, celles qui détiennent la mémoire d’Aucamville
Retrouvez chaque semaine leur portrait sur nos réseaux !
Olga Florent, l'art de tisser des liens
En 1956, Olga a 20 ans quand elle arrive à Aucamville avec sa famille. Elle commence par travailler à l’usine de poupées se trouvant à Lacourtensourt avant de s’acheter une machine à tricoter pour fabriquer des tricots. Par la suite, elle travaille à la mairie d’Aucamville en tant qu’agent d’entretien à l’école des « Garçons » (on l’appelait ainsi même si à cette époque-là elle était mixte, cette école était située dans l’actuel bâtiment de la médiathèque). Elle travaille également à la cantine de l’école maternelle Matisse avant de devenir ASEM dans cette même école. Elle aura travaillé 20 ans en tant qu’agent de mairie avant de partir à la retraite à 63 ans. Madame FLORENT continue à tisser des liens avec la commune et ses habitants en participant à l’atelier « Patchwork » ainsi qu’au club « Des chiffres et des lettres ». Son mari a été porte-drapeau durant 30 ans à la FNACA.
Elle aime beaucoup le cinéma « Jean Marais » et se souvient des séances de cinéma de sa jeunesse qui se déroulaient dans le café/épicerie « Lacoste ». « Il se situait à l’angle du chemin Salvy et de de la route de Fronton. » Elle se souvient également qu’elle et son mari allaient danser le samedi soir dans les bals organisés dans le café « Garrigue » qui se situait en face l’église. Elle faisait ses courses à la boucherie « Soulé » à l’emplacement de l’actuel « Marché Couvert ».
« Quand nous avons fait construire notre maison en 1960, nous voyions les églises de Saint-Alban et d’Aucamville depuis notre maison. Mais depuis la construction de l’autoroute en 1980… »
Photographie par @le_lapin_jaune_photographies
Dans le Regards de mars/avril, la commune a voulu rendre hommage à nos anciennes, celles qui détiennent la mémoire d’Aucamville
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Olga Florent, l'art de tisser des liens
En 1956, Olga a 20 ans quand elle arrive à Aucamville avec sa famille. Elle commence par travailler à l’usine de poupées se trouvant à Lacourtensourt avant de s’acheter une machine à tricoter pour fabriquer des tricots. Par la suite, elle travaille à la mairie d’Aucamville en tant qu’agent d’entretien à l’école des « Garçons » (on l’appelait ainsi même si à cette époque-là elle était mixte, cette école était située dans l’actuel bâtiment de la médiathèque). Elle travaille également à la cantine de l’école maternelle Matisse avant de devenir ASEM dans cette même école. Elle aura travaillé 20 ans en tant qu’agent de mairie avant de partir à la retraite à 63 ans. Madame FLORENT continue à tisser des liens avec la commune et ses habitants en participant à l’atelier « Patchwork » ainsi qu’au club « Des chiffres et des lettres ». Son mari a été porte-drapeau durant 30 ans à la FNACA.
Elle aime beaucoup le cinéma « Jean Marais » et se souvient des séances de cinéma de sa jeunesse qui se déroulaient dans le café/épicerie « Lacoste ». « Il se situait à l’angle du chemin Salvy et de de la route de Fronton. » Elle se souvient également qu’elle et son mari allaient danser le samedi soir dans les bals organisés dans le café « Garrigue » qui se situait en face l’église. Elle faisait ses courses à la boucherie « Soulé » à l’emplacement de l’actuel « Marché Couvert ».
« Quand nous avons fait construire notre maison en 1960, nous voyions les églises de Saint-Alban et d’Aucamville depuis notre maison. Mais depuis la construction de l’autoroute en 1980… »
Photographie par @le_lapin_jaune_photographies
