[DEVOIR DE MEMOIRE]
Aujourd'hui, La Fare les Oliviers a commémoré les victimes et les héros de la déportation.
La signature de l'armistice du 22 juin 1940 par le Maréchal Pétain a ouvert la porte à des années de souffrance et d'oppression sous le joug de l'envahisseur allemand. Opposants politiques, résistants, juifs, tsiganes, prêtres, homosexuels, nombreux sont ceux qui ont subi la politique d'exclusion nazie et la déportation.
Les chiffres sont un rappel brutal de l'inhumanité dont l'homme est capable : entre mars 1942 et août 1944, plus de 75 000 juifs seront déportés depuis la France. Seuls 2 566 survivants seront comptabilisés à la libération des camps en 1945.
"Heureusement, l'esprit humain a aussi montré sa capacité à faire preuve de bonté et de courage" a rappelé Yves Lombardo, maire adjoint délégué à la sécurité et aux affaires militaires. "Des Français non-juifs, parmi lesquels des 'justes parmi les nations', des résistants, des policiers, des ecclésiastiques et de nombreux anonymes, ont risqué leur vie pour fournir asile et protection à celles et ceux qui étaient promis à l'horreur. Leur bravoure reste une lumière dans l'obscurité de notre passé".
#lafarelesoliviers #devoirdememoire
Aujourd'hui, La Fare les Oliviers a commémoré les victimes et les héros de la déportation.
La signature de l'armistice du 22 juin 1940 par le Maréchal Pétain a ouvert la porte à des années de souffrance et d'oppression sous le joug de l'envahisseur allemand. Opposants politiques, résistants, juifs, tsiganes, prêtres, homosexuels, nombreux sont ceux qui ont subi la politique d'exclusion nazie et la déportation.
Les chiffres sont un rappel brutal de l'inhumanité dont l'homme est capable : entre mars 1942 et août 1944, plus de 75 000 juifs seront déportés depuis la France. Seuls 2 566 survivants seront comptabilisés à la libération des camps en 1945.
"Heureusement, l'esprit humain a aussi montré sa capacité à faire preuve de bonté et de courage" a rappelé Yves Lombardo, maire adjoint délégué à la sécurité et aux affaires militaires. "Des Français non-juifs, parmi lesquels des 'justes parmi les nations', des résistants, des policiers, des ecclésiastiques et de nombreux anonymes, ont risqué leur vie pour fournir asile et protection à celles et ceux qui étaient promis à l'horreur. Leur bravoure reste une lumière dans l'obscurité de notre passé".
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