[ "REGARDS DE SORORITÉ" À L'ÉGLISE HAUTE | DÉCOUVREZ LES PHOTOGRAPHIES DE MARYAM FIRUZI (IRAN) ]
Jusqu'au 30 avril, l'exposition "Regards de sororité" qui met à l'honneur les femmes du monde entier et la solidarité qui les unit, est visible tous les jours à la cathédrale Sainte-Marie de l’Assomption (Haute-Ville). C'est l'occasion de découvrir le formidable travail de cinq femmes photographes de renommée internationale, dans un cadre exceptionnel.
Parmi les photographes exposées, il y a l’artiste originaire d'Iran Maryam Firuzi. Formée au cinéma, elle travaille entre les médiums du film et de la photographie. Sa première série "Reading for Tehran Streets" a reçu le prix Alfred Fried pour la paix et son dernier court-métrage, "The Provisional Death of Bees", a été sélectionné par une douzaine de festivals de cinéma.
Depuis 2010, l'Iran a été touché par des turbulences politiques, la sécheresse, le coronavirus et une crise économique croissante aux effets dévastateurs. Maryam Firuzi se demande comment rester soi-même et continuer à évoluer en ces temps de crise. Dans la série de clichés exposés, utilisant les ruines comme une métaphore de la douleur et de la perte, elle a invité des peintres féminines à peindre sur les surfaces de lieux abandonnés. Les dessins sur les monuments du passé posent de nombreuses questions sans réponses sur l'avenir.
NOTEZ-LE : l'exposition gratuite et libre d'accès sera ouverte jusqu'au 30 Avril, de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h.
Jusqu'au 30 avril, l'exposition "Regards de sororité" qui met à l'honneur les femmes du monde entier et la solidarité qui les unit, est visible tous les jours à la cathédrale Sainte-Marie de l’Assomption (Haute-Ville). C'est l'occasion de découvrir le formidable travail de cinq femmes photographes de renommée internationale, dans un cadre exceptionnel.
Parmi les photographes exposées, il y a l’artiste originaire d'Iran Maryam Firuzi. Formée au cinéma, elle travaille entre les médiums du film et de la photographie. Sa première série "Reading for Tehran Streets" a reçu le prix Alfred Fried pour la paix et son dernier court-métrage, "The Provisional Death of Bees", a été sélectionné par une douzaine de festivals de cinéma.
Depuis 2010, l'Iran a été touché par des turbulences politiques, la sécheresse, le coronavirus et une crise économique croissante aux effets dévastateurs. Maryam Firuzi se demande comment rester soi-même et continuer à évoluer en ces temps de crise. Dans la série de clichés exposés, utilisant les ruines comme une métaphore de la douleur et de la perte, elle a invité des peintres féminines à peindre sur les surfaces de lieux abandonnés. Les dessins sur les monuments du passé posent de nombreuses questions sans réponses sur l'avenir.
NOTEZ-LE : l'exposition gratuite et libre d'accès sera ouverte jusqu'au 30 Avril, de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h.
